Une heure, deux heure, trois heure bdu matin. Quand est ce que cet avion allait ce décider à atterir ? Non que je sois impatiente de retrouver providence mais tout de même, passez plus de dix heure dans un même avion sans jamais une escale et vous comprendrez alors peut être ma situation. C'est pour vous dire, à force d'ennui perpétuelle à bord de cet appareil, je ne me souviens même plus à quel heure celui-ci doit appareiller dans la propre ville ou je résidais un an de cela. Je ne comptais même plus les heures que j'avais pu passer à dormir, elles étaient désormais bien trop nombreuses. Ipod, msn, facebook, internet, dodo forcé j'avais tout essayer afin de ne point trouver l'ennui. Malhereusement, une ou deuxheure avant l'atterissage celui-ci avait réussi à ce isser jusqu'à moi, à mon plus grand malheur. Que la vie pouvait être injuste ! S j'avais pensez à regarder les paysages défiler ? Bien entendu. Me prendriez-vous pour une imbécile ? Dans tout les cas, regarder un à un passer les nuages n'a aucun intérêt pour moi, c'est vrai, à mes yeux comme aux votre ne sont-ils pas tous pareil. A force de voir les heures défiler, le voyage me rend d'humeur plus massacrante.

" L'avion entrera ... "
Je n'eu même pas besoin d'écouter la suite que je compris immédiatement que cet engin allait désormais atterir. C'était pas trop tôt ! Ni une, ni deux, sans demander mon reste, j'attraper avec vivacité mes quelques bagages à bord de cet avion de malheur et me rassois tout aussi vite afin de sortir dans les plus bref délais de cette torpeur, qui, comme je vous le disais auparavant aura durée plus de dix heure. Enfin soulagée. L'avion vient d'atterir, les passager de débarquer et moi je me trouve dorénavant dans l'aéroport à aller chercher le reste de mes bagages. La vie est belle ! Non, sans rire, je suis réellement soulager d'être enfin sortis, c'était décidement un vrai calvaire là-dedans. Et dire qu'il y a des gens qui se délect de ce travail. Après tout, tout les goûts sont dans la nature et heureusement que la différence existe, sinon, le monde irait tout droit à la catastrophe. C'est moi qui vous le dis. Après vingt bonne minutes de recherches , je trouvais enfin mes valises et m'enpressait sous peu de les emporter avec moi.

Vous vous attendez certainement à ce que je vous sorte un très habituel " A ce qu'on est bien chez soit ", ou je ne sais trop quoi qui y ressemble de près ou de loin. N'est ce pas ? Et bien non, pour être tout à fait honnête c'est loin d'être le cas. Pour ne pas vous mentir, j'appréhendent assez ce retour "aux sources". Revoir mes amis, retrouver la stabilité quoi de plus agréable pour une personne normalement constituée. Ors, et vous l'avez déjà sans doute compris depuis longtemps, à la longue, je suis loin 'être une personne normalement constituée. Je suis tout le contraire, tout ce que je fais ou ai fait sort et est sortit de la norme.

Noyée dans mes pensées, je m'apprête à présent à sortir de l'aéroport quand, une fois aux portes de la sorte principale quelqu'un m'interpêle. Cette voix, je ne l'ai que trop entendu l'année durant et d'avant. Au télééphone, en réalité et aujourd'hui, elle se retrouve face à moi m'attendant de pied depuis je ne sais quelle heure. Surpise, c'est le mot. J'étais loin de m'imaginer de revoir aussitôt l'iune de mes amies. Je comptais plus tôt m'enfermer pendant une ou deux semaines chez moi, à ne voir personne mais de la voir ici à m'attendre me faisait chaud au coeur et croyez moi je n'allais pas me priver de sa présnce. Leila n'était pas ma meilleure amie il est vrai mais ce qu'on aurait pu appeler une confidente, une très bonne amie sur qui je peux compter. Croyez le ou non mais c'est avec elle quej'ai gardée le plus de contact durant ma tournée. Bien évidement il y a eu aussi Abbie, Andrews, Magdalena et bien d'autres mais ce fût avec Leila que je garda le plus de contact. Abbie était elle aussi en tournée, il était rar que l'on puisse se parler. Quelques mots enchangés à l'occasion, mais pas plus.

Leila, qu'est ce que tu fais ici? Je t'avais pourtant dis de ne pas venir me cherchder.

Décidement cette fille n'en fesait toujours qu'à sa tête, en un an, sur ce point là, elle n'avait pas changé. Toujours à faire comme il lui plaisait, mais c'est aussi une des choses que j'aimais chez elle. De la voir ici, devant moi, me remplissais de joie, le trajet en avion était oublié; et j'étais réellement contente que une fois encore elle n'en ai fait qu'à sa tête.